Avec un peu d’avance pour Noël, le fonds d’exposition d’Ombelliscience s’enrichit en cette fin d’année particulière.
2 nouvelles expositions issues du travail des chercheurs du CEA et de l’INSERM sont dès à présent disponibles :
La première, « Amazing science » ou qui a dit que littérature et science ne faisaient pas bon ménage… Concentré de pulp culture(1) rencontrant les chercheurs, « Amazing science » propose 30 nouvelles écrites à la croisée des nouvelles de science-fiction des années 60 et des champs de recherche des laboratoires modernes. Une vision de la science qui se raconte autrement et se confronte à ses propres espoirs, pour le bonheur de tous.
La seconde, « Energie express » traite d'un sujet qu’on ne présente plus… Et pourtant l’avons-nous si bien compris ? En 11 panneaux, le CEA nous propose une synthèse autour du thème des énergies durables. Qu’est-ce que l’énergie ? Qu’entend-on par mix énergétique ? L’énergie au quotidien, ça veut dire quoi ? Avec son design épuré qui sied au contenu synthétique, cette exposition vous dresse un panorama pour réfléchir à ce qui est et pourrait être notre paysage énergétique dans les années à venir.
Deux nouvelles expositions captivantes… Et ce n’est qu’un début, mais on vous dit tout le mois prochain, promis !
(1)Pulp culture : culture se rattachant aux magazines de fiction des années 50-60 aux USA
Publié le 19 novembre 2020
La science c'est très théorique et on n’a jamais le droit de toucher à rien… En a-t-on jamais été si loin…? Nouvel outil dans l’offre des dispositifs pédagogiques itinérants, « Sandbox, le bac à sable à réalité augmentée » intègre aujourd’hui le fonds d’expositions d'Ombelliscience.
Grâce à lui, découvrez comment une topographie(1) devient une carte, ou l’inverse. Etudiez un bassin versant, une rivière ou un littoral. Expérimentez l’effet des aménagements lors des phénomènes de crue ou de fortes précipitations. Bref, par la pratique, observez et étudiez le comportement de l’eau afin de mesurer les effets des choix collectifs d’aménagement du territoire à l’heure du dérèglement climatique.
Ce bac à sable connecté est disponible au prêt dès maintenant, alors n’hésitez plus et réservez-le !
(1)Configuration d'un relief
Photo bas (c) Cité des Bateliers
Publié le 17 novembre 2020
L’Acap - pôle régional image et SoCo Études ont mené une enquête inédite sur les pratiques liées aux écrans des jeunes de 11 à 18 ans en région Hauts-de-France.
Plus de 6 000 jeunes ont répondu au questionnaire en ligne sur leurs pratiques des images et des écrans entre octobre 2019 et février 2020.
Les résultats de l’étude ont révélé de nombreux contrastes. Les adolescents ont un désir d’apprendre, de s’informer, de créer, de s’amuser mais ont également conscience, au moins partiellement, des dangers que l’univers numérique comporte.
Cette enquête constitue une ressource d’informations extrêmement importante pour tous les acteurs travaillant avec les jeunes afin de comprendre les usages de ce public.
En tant qu’acteurs œuvrant au partage des connaissances scientifiques, les données figurant en page 101 du rapport complet apparaissent comme particulièrement intéressantes.
En effet, cette étude révèle que : -1 jeune sur 2 regarde des vidéos afin de mieux comprendre ses cours (3 jeunes sur 4 chez les 16-18 ans) -59% des jeunes pensent que les vidéos visionnées influencent leurs opinions -Parmi les vidéos regardées par les jeunes « pour expliquer leurs cours différemment », les plus regardées concernent les « sciences exactes » : les mathématiques en 1ère place (37% des répondants soit 2273 jeunes sur 6104), mais aussi la physique-chimie (24%, soit 1463 jeunes) et les SVT (20% soit 1214 jeunes).
Les 11-18 ans utilisent donc très fréquemment la vidéo pour apprendre, et apprendre spécifiquement sur des thématiques scientifiques. Des résultats qui traduisent le levier important que constitue la vidéo comme medium de transmission des savoirs scientifiques auprès des 11-18 ans en Hauts-de-France.
Publié le 17 novembre 2020
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