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Témoignage de Dorçafe Mezouar : "L’inclusion c’est être dans l’échange, dans l’écoute active et transformer en acte les besoins exprimés par ces publics"

Dorçafe Mezouar est chargée d'appui aux projets territoriaux au Forum départemental des sciences, situé à Villeneuve-d'Ascq (59). Dans le cadre de sa participation au programme "Sciences pour Toutes et Tous" coordonné par Ombelliscience, Dorçafe Mezouar a été interviewée par l’association le 20 juin au sujet de sa démarche et son cheminement pour aller vers davantage d’inclusion dans ses pratiques professionnelles.

Candice Gaudefroy (CG) pour Ombelliscience : Pouvez-vous présenter votre structure en quelques mots et expliquer en quoi elle a un lien avec la culture scientifique ?

Dorçace Mezouar (DM) : Le Forum départemental des sciences est un CSTI, un centre de culture scientifique, technique et industrielle. Il a donc vocation à promouvoir la diffusion de la CSTI et développer la politique culturelle du département (via le projet de direction). Il participe également aux opérations nationales, comme la Fête de la science. Il créé et diffuse des produits culturels : expositions, outils itinérants et ressources culturelles.

CG : C’est quoi pour vous l’inclusion en général ?

DM : Pour moi, c’est faciliter l’inclusion des publics qui sont exclus / empêchés de façon générale (au niveau des exclusions sociales). La définition, ce serait d’aller vers ces publics et de faciliter leur accès à notre centre culturel, en rendant le contenu accessible et la visite possible. Donc finalement, c’est lever les freins de ce manque d’accessibilité, être dans l’échange, dans l’écoute active : transformer en acte les besoins exprimés par ces publics.

CG : Selon vous, les sciences sont-elles naturellement inclusives ? Pourquoi ?

DM : Naturellement inclusives, j’ai envie de dire oui et non. Je pense qu’elles tendent à l’être davantage si on prend le sujet au sens de l’ "actualité".

Elles le sont naturellement, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de science qui peut être exclusive. Je pense que la connaissance et la transmission sont universelles et donc les sciences sont accessibles à toutes et tous. Maintenant, le poids de l’histoire et de l’actualité a voulu que, dans la conception et les projections des idées reçues sur les sciences, elles soient perçues comme élitistes et excluantes.

Mais il y a actuellement, et cette formation en est la preuve, cette volonté de vouloir changer la perception de ces idées reçues.

CG : Avant vos expérimentations dans le cadre du programme "Science pour toutes et tous" d’Ombelliscience, quels étaient concrètement les freins observés ?

DM : Nous sommes un équipement départemental et l’accompagnement des personnes appartenant aux catégories de publics exclus / empêchés fait partie des missions du département (soit par la MDPH, ou des services comme les Maisons Nord Solidarité / Nord Emploi). C’est donc un public que l’on peut potentiellement déjà toucher via nos collègues d’autres directions générales (Enfance Famille et Retour à l’Emploi).

Les freins, concrètement, c’était de trouver ce public et palier le sujet du coût financier : le tarif au Forum départemental des sciences avait augmenté.

La question du coût financier est par exemple moins problématique aujourd’hui, puisque l’on a des gratuités dans le cadre du partenariat entre l’action sociale et le Forum départemental des sciences (cf question ci-dessous). Il y a une vraie volonté politique du département d’accompagner les Nordistes à l’accessibilité culturelle (tout comme à l’accessibilité à l’emploi, etc…).

CG : Au sein de votre structure, quel a été le 1er pas concret pour être dans une démarche plus inclusive ? Et que vous a apporté le programme "Science pour toutes et tous" ?

DM : Le projet de partenariat entre la DGAEFS (Direction Générale Adjointe Enfance, Famille, Santé) et le Forum départemental des sciences, qui a été initié en 2021 et dont l’objectif était d’être à l’écoute et tisser des liens avec les services de l’action sociale.

L’idée était de créer un partenariat qui s’inscrit dans la durée, et c’est effectivement le cas puisque nous sommes sur la 4e année du projet. On commence à avoir des événements qui deviennent réguliers.

Il y avait déjà un travail qui était amorcé auparavant, mais c’était plus des à-coups. Avec ce projet, on était vraiment dans l’idée d’initier quelque chose qui soit pérenne et qui se construise dans le temps pour toucher les publics de l’action sociale et en les intégrant notamment dans des dispositifs qui existent déjà (comme "les rencarts avec la science" (rendez-vous gratuits) et l’appel à projets (diffusion de l’offre culturelle sur le territoire au plus près des habitants)). On a vraiment travaillé une proposition d’action culturelle qui soit autant dans les murs qu’hors les murs, à proximité et en « allant vers » les publics exclus.

Le second projet qui a émané de la formation-action, c’est la création d’un groupe projet inclusion, interne, pour réfléchir sur nos pratiques professionnelles. On réinterroge nos façons de travailler, de penser la conception des expositions, la signalétique, les cartels…sous l’angle de la démarche inclusive. Tous ce qui nous a été présenté en formation, m’a permis d’intégrer ces éléments dans le groupe projet. Ça change aussi notre façon de penser notre métier.

CG : Si c’était à refaire, que feriez-vous différemment… À votre niveau, au sein de votre structure, et au niveau de l’accompagnement proposé par Ombelliscience ?

DM : Personnellement, je ne changerai rien. J’ai trouvé la formation très complète, on a bénéficié d’un vrai support de ressources et de veille documentaire. Marie, Arnaud et toute l’équipe d’Ombelliscience se sont toujours mis à disposition. Nous avons été très bien encadrés et accompagnés dans cette démarche.

Sur mon projet, j’étais déjà dans cette démarche d’inclusion, mais la formation m’a permis de prendre plus de recul sur ma façon de faire les choses.

Ce temps de formation a été un moyen d’avoir une vraie prise de recul, de pouvoir analyser ma façon de travailler et me dire "je fais un vrai pas de côté". J’observe ma façon de faire : est-ce qu’elle correspond à l’objectif attendu ?

Prendre ce temps a été très bénéfique, ma façon de travailler a changé (depuis la formation) et c’est ce que j’essaie aussi de transmettre à mes collègues. Même s’ils sont déjà sensibles à la question d’inclusion, ce temps de réflexion collectif est vraiment important.

Et aussi la formation, dans le sens "animation de réseau", a été l’occasion de rencontrer d’autres collègues du milieu et d’horizons différents. Ça m’a permis de voir que mes difficultés sont à relativiser par rapport aux autres. Entendre leur difficulté, avoir un temps de partage et d’échange, ça alimente, crée des idées, une communauté, une énergie collective.

C’était vraiment très bénéfique, je prolongerai même dans le temps par rapport au relais pour mes collègues, cela va susciter des questionnements. Et ces questionnements auront besoin d’être encadrés, développés dans un cadre. Et ce cadre, c’est la formation SPTT. C’est sécurisant car on peut ne pas se sentir légitime, à parler d’inclusion ou à porter une idée, et c’est dans le cadre SPTT que l’on a pu trouver des réponses.

Publié le 15 juillet 2025

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Les scientifiques se mobilisent lors de la Fête de la science : Audrey Dussutour, fourmis, organismes unicellulaires et blob

La 34ème édition de la Fête de la science se déroulera du 3 au 13 octobre 2025 sur le thème des "Intelligence(s)".

Cet événement est l'occasion pour le public de rencontrer des chercheuses et chercheurs de toute la région.

Ombelliscience, en tant que coordination régionale de la Fête de la science en Hauts-de-France, vous présente au fil des semaines quelques-un·es de ces scientifiques qui se mobilisent sur l’événement.

Audrey Dussutour est directrice de recherche au CNRS et biologiste. Plus spécifiquement, elle est myrmécologue, c’est-à-dire spécialiste des fourmis. Elle est également spécialiste des organismes unicellulaires.

Elle a obtenu un doctorat d’éthologie en 2004 à l’Université Toulouse, puis suivi 2 post-doctorats au Canada (Concordia University) et en Australie (University of Sidney). Elle intègre le CNRS en tant que chercheuse en 2009.

Si elle exerce depuis plus de 10 ans au Centre de recherches sur la cognition animale (CNRS/ Université Toulouse), sa passion pour la nature et les animaux remonte à son enfance. Elle s’est progressivement ouverte au milieu scientifique durant ses années au collège jusqu’à la fac, où elle y découvrira l’éthologie : l’étude du comportement des animaux.

Ses travaux de recherche portent sur l’interaction des systèmes avec leur environnement, principalement les colonies de fourmis et les organismes unicellulaires. Plus largement, elle s’intéresse à l’intelligence collective chez les insectes (déplacements, résolution de problèmes, recherche de nourriture) et à l’intelligence primitive chez les êtres unicellulaires.

L’ensemble de ses projets lui ont permis de porter un nouveau regard sur la notion d’intelligence, à travers plusieurs découvertes. Elle a notamment été la première à démontrer les capacités cognitives chez ce qu’elle a nommé « le blob », un organisme unicellulaire (Physarum polycephalum).

Elle les partage aussi très souvent avec le grand public, soucieuse de la diffusion des connaissances scientifiques auprès du plus grand nombre. C’est d’ailleurs dans cette logique qu’elle participe à de nombreuses conférences, ateliers, émissions de radio/ TV, et qu’elle a publié 4 ouvrages sur ses travaux de recherche.

Audrey Dussutour a reçu la médaille de la scientifique du CNRS en 2021.

Et bonne nouvelle ! La scientifique réalisera une visioconférence à l’occasion de la Fête de la science le jeudi 9 octobre, diffusée à l’Auditorium Rostropovitch de Beauvais ! Elle expliquera ses travaux de recherche en myrmécologie (étude des fourmis).

Informations : Visioconférence - Auditorium Rostropovitch de Beauvais Jeudi 9 octobre, horaires : 10h

Photos (c) David Villa - Scienceimage - CBI - CNRS

Publié le 07 juillet 2025

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Parcours Super Espèces : expositions, jeux, ateliers, sortie nature… c’est le temps des restitutions !

Les parcours Super Espèces battent leur plein en ce mois de juin ! Échanges avec des professionnel·les de l’environnement, jeu de piste, expositions de photos prises par les jeunes, ateliers, conférence… Les jeunes âgés de 6 à 14 ans se sont familiarisés à la richesse de la biodiversité et à la démarche scientifique.

Dans le cadre de cette saison 2025 des Parcours Super Espèces hors cadre scolaire, ce sont 7 structures qui accueillent le dispositif. Découvrez l’actualité des dernières séances !

Dans la Somme :

• AMIENS

Le 28 mai à Amiens, 10 jeunes ont échangé avec Stéphane Ibarrondau/Doc Nature, éducateur à l’environnement, puis l’après-midi avec Denis Vitte au Jardin archéologique de Saint-Acheul (JASA), dans le cadre de la dernière séance.

L’ensemble du parcours "Le vivant dans mon quartier, de la Préhistoire à 2025", a pu être restitué 11 juin de 15h à 17h au Jardin Archéologique de Saint-Acheul (JASA). Une trentaine de parents, référents des service Jeunesse et Culture d’Amiens métropole, ainsi que la DREAL étaient présents pour découvrir le bilan du parcours.

À l’issu : un jeu de piste grandeur nature pour s’immerger dans la faune et la flore de la préhistoire, jusqu’à celle d’aujourd’hui. Une manière ludique et interactive pour les jeunes d’explorer la nature tout en faisant des liens avec le parcours : découverte d’espèces, réalisation d’énigmes, déchiffrage de phrases… Le jeu était divisé en plusieurs défis, localisés dans différents espaces du JASA et permettait à la toute fin de trouver un mot mystère.

Deux autres dates d’expérimentation du jeu seront proposées en août et septembre pour le grand public et les agents de la ville d’Amiens.

• BEAUCAMPS-LE-VIEUX

Pour le parcours de Beaucamps-le-Vieux, porté par la médiathèque, les jeunes ont pu poursuivre leur thème d’exploration en milieu rural sur les chauves-souris et hirondelles : Marine Blaizel, de Picardie Nature est intervenue pour la 4e séance à l’occasion d’une sortie terrain dans la commune. L’opportunité d’observer de façon concrète ces espèces dans leur habitat (comportement, nourriture…). L’après-midi, ils·elles ont pu reprendre leur initiation à la photographie nature avec la 2e intervention de l’Extraordinaire Regard. Cet atelier pratique leur a apporté des connaissances techniques pour réaliser des clichés en extérieur d’oiseaux en plein vol ou dans leur habitat.

La médiathèque de Beaucamps-le-Vieux a accueilli le 17 juin en soirée une cinquantaine de personnes (dont Lou Sureaux chargée de mission à la DREAL, Marine Blaizel de Picardie Nature, Guillaume Boilet de l’association Extraordinaire Regard et Yann Duquef, entomologiste de l’Association Des Entomologistes de Picardie) pour les restitutions de 2 parcours Super Espèces qui se sont déroulées sur le territoire de la Communauté de communes de la Somme Sud-Ouest : celui hors cadre scolaire (qui associe la médiathèque) et dans le cadre scolaire (qui associe des élèves de CE1 de l’école d’Hornoy le bourg).

Au programme de cette soirée : 2 expositions photos dont les clichés ont été pris par les jeunes. Elles mettent en avant le bâti rural, les hirondelles, les chauves-souris, le chevreuil et le lièvre, des travaux et dessin, intervention et sorties sur les insectes, atelier de linogravure et quizz.

• FEUQUIERES-EN-VIMEU

Lors de la séance du 14 mai, les participant·es ont suivi une sortie terrain avec Stéphane Ibarrondau/Doc nature sur le monde aquatique, dans un milieu humide.

Au cours de la 6ème séance, le mercredi 21 mai, les jeunes du Parcours Super Espèces et de l’atelier Arts plastiques ont restitué l’ensemble des éléments de ces sorties pour créer le visuel d’un panneau qui sera installé sur le parcours du Val de Trie et le déroulé du questionnaire qui sera accessible par un QR code. Ils et elles ont été accompagné·es par le naturaliste, les intervenantes de la Communauté de communes du Vimeu (Virginie Sannier en charge de la CSTI et Virginie Lost enseignante en arts).

Ce parcours s’est clôturé vendredi 20 juin à 18h au siège de la Communauté de Communes du Vimeu situé à Friville-Escarbotin. La restitution a proposé notamment au grand public un temps de découverte de la biodiversité au travers d’un escape game (utilisé lors de séances avec les jeunes) par Stéphane Ibarrondau.

Dans le Nord :

• CAMBRAI

Le temps de restitution du parcours Super Espèces à Cambrai s’est tenu dans le jardin de la maison du quartier Druon dans lequel se trouve le centre social R’Generation du SEJC de Cambrai et l’accueil loisirs. Ce 18 juin de 14h à 18h, une cinquantaine de personnes (dont 24 enfants de 3 à 9 ans, 8 jeunes de 11 à 18 ans) ont suivi les ateliers de partenaires et intervenants (la communauté d'agglomération de Cambrai, Suez, l’illustrateur Brandy et la Ligue de protection des Oiseaux Nord représentée par Pauline Lesniewski). Pauline a présenté des activités sur le thème des hérissons et des petites bêtes de la mare (en référence à la mare présente sur la coulée verte).

Dans le Pas-de-Calais :

• CALAIS

Mercredi 21 mai, la Coordination Mammalogique du Nord de la France (CMNF) a accompagné 6 jeunes fréquentant la médiathèque de Calais pour une sortie sur la plage du Fort Vert. Situé à l’Est de Calais, cet espace a permis aux jeunes de partir à la découverte de la biodiversité marine. Jacky Karpouzopoulos de la CMNF leur a expliqué les comportements à adopter en cas de rencontre avec certaines espèces (oiseaux nicheurs marins et phoques), avant de leur faire observer à l’aide de jumelles une trentaine de phoques présents au loin sur la plage.

Les jeunes ont ensuite pu poser toutes leurs questions à l’accompagnant sur les mammifères marins, et plus spécifiquement dans les eaux du détroit du Pas-de-Calais. Une bande dessinée de sensibilisation leur a été offerte à la fin de la séance. Article sur ES de l’intervenant

Mercredi 28 mai, Nicolas Duhamel, du CPIE Flandre Maritime, est intervenu une dernière fois pour faire un bilan des observations et de l’enquête et répondre lui aussi aux nombreuses questions qui se retrouveront dans le podcast. Pour rappel, le parcours de Calais portait sur la thématique des plages et de leurs études. Au cours des sorties, les jeunes ont exploré divers sujets autour de la biodiversité : les milieux dunaires, les coquillages, et les mammifères marins.

L’objectif était également de réaliser un podcast en collaboration avec la radio Transat FM. Un journaliste est intervenu à la médiathèque le 4 juin pour aider les participant·es dans le montage et la finalisation de celui-ci.

Ce parcours s’est clôturé le 18 juin dans les locaux de la médiathèque Louis Aragon à Calais de 14h à 17h en présence d’une dizaine de jeunes, et d’une quinzaine d’habitants de Calais.

L’après-midi a été ponctuée de temps de lecture d’une sélection d’ouvrages en lien avec la biodiversité et la mer, de jeux sur la biodiversité et bien entendu en avant-première de l’écoute du podcast réalisé avec les intervenants et les jeunes.

« Saurez-vous distinguer la mouette du goéland » ; « Savez-vous ce qu’est une groseille de mer ou pourquoi les phoques sont dans le sable ? » ; « Peut-on préserver la plage tout en gardant une activité touristique ? ». Autant de questions que les jeunes ont pu poser aux intervenants du CPIE Flandre Maritime (Nicolas et Elise) et de la CMNF (Jacky). (Cf le podcast Les P’tits Ornithos conçu lors de l’édition 2024).

Avant de retrouver le podcast sur les sites d’Ombelliscience et d’Echosciences découvrez-le sur Transat FM 98.5: samedi 21 juin à 13h, dimanche 22 juin à 15h et mardi 24 juin à 18h.

Les prochains rendez-vous :

Dans la Somme :

- NESLE

Le 25 juin à partir de 18h, temps de restitution à la médiathèque de Nesle : les carnets d’observation seront présentés.

Dans l’Aisne :

- CHATEAU-THIERRY

Le 6 août, temps de restitution au stand de la Médiathèque Jean Macé, dans le cadre de l’opération Château Plage. Une balade naturaliste sera proposée par le CPIE de l’Aisne

Ombelliscience et la DREAL Hauts-de-France déploient des parcours de découverte de la biodiversité : les parcours Super Espèces. Ils sont animés par la DREAL dans un cadre scolaire et par Ombelliscience hors du cadre scolaire.

Retrouvez les témoignages des intervenants et coordinateurs des 7 parcours dans la communauté Parcours Super Espèces sur Echosciences Hauts-de-France et sur la page Facebook d’Ombelliscience.

Publié le 20 juin 2025

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