Du 21 janvier au 1er mars, l’Université de Lille vous propose de découvrir comment est née la théorie de Darwin sur l’évolution biologique à travers l’exposition Sur les traces de Darwin.
Connu mondialement, Charles Darwin occupe une grande place dans l’histoire des sciences. Mais que savons-nous de sa théorie des évolutions ? Quels périples l’ont conduit à cette révolution scientifique ? Quels sont les héritages de ses recherches aujourd’hui ?
Jusqu’au 18ème siècle, nul ne songeait à remettre en cause les croyances. Pourtant quelques naturalistes commencèrent à se questionner sur les ressemblances frappantes entre les espèces… En 1809, le français Jean-Baptiste de Lamarck propose une première théorie de l’évolution. Puis, en 1859, l’anglais Charles Darwin présente un mécanisme naturel permettant d’expliquer l’évolution des espèces. Ses idées eurent un retentissement mondial.
Qu’est-ce qui a amené Darwin à développer cette théorie ? Qu’est-ce que la théorie de l’évolution de Charles Darwin ? En quoi a-t-elle révolutionné la société de l’époque ? De nos jours, qu’avons-nous hérité de ses recherches ?
En mettant en parallèle la théorie de Lamarck et celle de Darwin, vous comprendrez sa théorie de l’évolution des espèces et en quoi Charles Darwin a posé un regard totalement nouveau sur la nature et sur l’homme.
Informations pratiques - Adresse : Université de Lille - Bibliothèque universitaire SHS - Domaine universitaire du Pont de Bois - Rue du Barreau - salle Vie étudiante de la BU Pont de Bois - 59652 Villeneuve d'ascq - Accès : Métro ligne 1, station "Pont de bois" - Horaires : du lundi au vendredi 9h-18h
Publié le 22 janvier 2019
Du 6 février au 5 mars inclus, la Maison de l’emploi et de la formation du grand Beauvaisis (MEF) située à Grandvilliers veille à notre bonne conduite.
Cette exposition cherche à prévenir les accidents de la route en sensibilisant les futurs ou actuels conducteurs aux premières causes d’accidents, qu’ils soient cyclistes, motards ou automobilistes.
Quels sont les facteurs principaux des accidents de la route ? Quelles sont les statistiques liées à ces accidents ? Quels moyens de transports sont les plus touchés par les accidents et pourquoi ?...
À travers cette exposition en 12 panneaux intitulée La bonne conduite, les cyclos, motos, vélos, piétons… tout usager de la route, se sentira concerné et pourra ainsi sillonner les routes en restant vigilant.
Informations pratiques - Dates : Du 6 février au 5 mars inclus - Lieu : Maison de l'Emploi et de la Formation du Grand Beauvaisis - 11 avenue Saget - 60210 Grandvilliers
Publié le 14 janvier 2019
Les jeudi 22 et vendredi 23 novembre, le Centre culturel Picasso de Longueau a accueilli 6 représentations du spectacle *Les suites prométhéennes 1. L’oubli de l’eau* créé par la compagnie Théâtre Inutile.
Dans ce cadre, Ombelliscience a présenté sa toute nouvelle maquette interactive dédiée à la thématique du cours d’eau et du changement climatique à plus d'une centaine de collégiens présents pour l’occasion.
Conçu par Ombelliscience et réalisé par Cité Nature, ce nouvel outil pédagogique Changement climatique, et nos rivières dans tout ça ? a ainsi pu être présenté en articulation avec ce spectacle théâtral. À partir de 19h, le spectacle étant ouvert au grand public, les spectateurs ont pu également découvrir et utiliser la maquette interactive.
• Retour sur le spectacle L’oubli de l’eau
« L’oubli de l’eau est le premier volet du cycle de création Les Suites prométhéennes qui interroge notre époque à travers les éléments : eau, terre, air, feu et la figure de Prométhée.
Notre époque, qui se caractérise par le triomphe de la techno-science, est aussi celle qui inaugure l’ère de l’anthropocène : l’homme comme le principal agent des mutations (biologiques, chimiques, climatiques) qui affectent la terre. Nous sommes à une époque de dissociation et de dislocation volontaire du vivant. »
Le spectacle questionne le spectateur sur « les avancées de la techno-science et ce qu’elles peuvent apporter comme mirage et éblouissement à notre monde contemporain. Il retraduit le mythe de Prométhée à la lumière de notre quotidien. » cf. dossier du spectacle Les Suites prométhéennes – 1. L’oubli de l’eau. Voir la fiche du spectacle p.13 du programme du CSC Picasso
Après la représentation du spectacle, les collégiens ont pu échanger pendant près d’une heure avec la compagnie théâtrale autour de leurs interprétations de la pièce, des émotions ressenties pendant la représentation ou encore autour d’éléments techniques (décor, voix, sons, jeu de la comédienne…).
• Un dialogue théâtre et science pour parler d’eau et de changement climatique
Le lancement du cycle de création Les Suites prométhéennes s’est ouvert avec le partenariat entre la compagnie Théâtre Inutile et Ombelliscience, afin d’offrir, principalement au public scolaire, à l’issue de la représentation du spectacle, une séquence complémentaire de médiation sur les conséquences du changement climatique et de l’action de l’homme sur les cours d’eau.
Quels impacts le changement climatique va-t-il avoir sur notre réseau hydrographique ? Quels changements dans nos vies ? Est-il possible de s’adapter ? D’atténuer les effets ?...
À travers l’utilisation de la maquette Changement climatique : et nos rivières dans tout ça ?, les élèves, tout comme le grand public, ont pu aborder la thématique de l’eau et du réchauffement climatique en s’appuyant sur des données et des exemples concrets de notre territoire régional, et ont ainsi pu comprendre les enjeux de société relatifs à ce sujet.
Ce dialogue entre spectacle et maquette interactive a permis d’aborder une thématique commune à travers des approches très différentes : dimension artistique et sensible grâce au spectacle, et dimension scientifique et très concrète à travers la maquette. br> Chacun à sa manière, l’un et l’autre se complétait pour donner au public des clés de compréhension sur la question du réchauffement climatique et des conséquences sur les cours d’eau.
Maquette de l'eau réalisée grâce au soutien de l'Agence de l'Eau Artois Picardie
2 photos haut © Ombelliscience ; photo milieu © Cité Nature ; photo bas © Théâtre Inutile
Publié le 12 décembre 2018